Si l’entreprise m’était conté, écriture transmission
L’ÉCRITURE TRANSMISSION, L’ÉCRITURE COMME ART DE LA RELATION
Portrait, histoire singulière, l’écriture comme médiateur de la relation à soi, aux autres et au sens. Une reconnexion par les mots. Une invitation à renouer avec les racines de l’entreprise. S’appuyer sur le récit pour transmettre les convictions d’un fondateur. Porter un regard nouveau sur le travail.
ET SI VOTRE ENTREPRISE AVAIT UNE ÂME ?
Et si il était question ici non pas de compter mais de conter oour transmettre les convictions d’un fondateur
Portait, histoire singulière, l’écriture comme transmission, l écriture comme reconnexion.
Ecrire pour (re)lier. Renouer avec les racines de entreprise, les réactualiser dans le quotidien et (re) donner du sens.
Des mots pour raconter pas pour se la raconter. La trace du récit comme une empreinte qui rassemble pour cheminer ensemble.
Sève fondatrice. ADN, qu’en est-il de votre territoire de communication interne ? De la mise en valeur des trajectoires humaines singulières et de leur geste travail?
Offre dirigeant – livrable en format livre, feuillets ou synthèse.
Accompagner des dirigeants à la mise en récit claire compréhensible de l’âme de leur entreprise. Comment ? 7 séances de 2h30 guidées pas à pas pour faire émerger le matériau narratif (expériences et événements charnières). A l’issue de ces séances, tel un biographe je transforme ce fil narratif en un récit source et ressource pour les collaborateurs ou contributeurs.
Offre collaborateurs – livrable en format synthèse ou feuillets
Accompagnement de la mise en récit de trajectoires professionnelles singulières. Ecrire un métier. Mise en mots et en résonance du geste travail dans le cadre de transmission interne ou tout simplement à l’occasion de transmission de poste ou de départ à la retraite. Module de 4 à 6 séances de 2h30 guidées pas à pas pour faire émerger le matériau narratif (expériences et événements charnières). A l’issue de ces séances, tel un biographe je transforme ce fil narratif en un récit pour la transmission.
L’ATELIER D’ECRITURE
Tout public aucune exigence de pratiques d’écriture.
Faire parler l’expérience pour mieux la reconnaître. Renforcer la marque employeur. Fidéliser des talents. Solliciter des candidats qui se reconnaîtront dans les récits.
Rien de plus humble au un récit au parle de l’importance des choses et non du bruit quelles font.
Dans un monde du travail en pleine accélération ou le goût de l’ampleur et la rapidité nous éloigne parfois de l’intensité. Focaliser notre attention sur l’essence de notre geste travail au quotidien. Eloigné d’un enseignement théorique supplémentaire. le récit vient partager une expérience. || vient semer des graines qui autorisent toutes floraisons.
LAURE-EMMANUELLE DEGEN – Kikka Auteure
Après 20 ans de carrière à des postes de cadre dirigeant baignée dans l’esprit intrapreneur, j’ai envie de partager mon amour des mots. Je me définis comme éveilleuse de mots. je suis au service de ce passage de texte pour accompagner l’écriture à tisser des mots qui relient à soi, aux autres, au sens. Auteure du Roman Je ne te pensais pas si fragile paru aux éditions Eyrolles
Carnets, calepins, explorer les registres de poche
Au choix 2 formules
Le cycle de 4 journées indépendantes en demi pension 8,9 OCTOBRE 5,6 NOVEMBRE de 10h à 17H
la halte d’écriture 4 jours 3 nuits en pension complète du 3 au 6 décembre 2023
Souvent confondu avec le journal intime qui se nourrit de la vie même de son auteur jusqu’au détails les plus futiles et s’anéantit dans sa rédaction pour devenir témoignage ; l’écriture de carnets appréhende et interroge la réalité à travers diverses collections de notes. Sorte de cabinet de curiosité : Fragments du réel, listes, billet, poèmes, notes intimes, phrases, anecdotes, citations, bribes de conversations ou de lecture, esquisses, réflexions, photos… l’écriture de carnets est une pratique de collecte d’instants, une pratique de langage qui s’interroge sur elle-même et ouvre à de multiples créations.
J’aime pratiquer les carnets comme soubassement de terres inconnues et c’est naturellement que je vous propose de venir expérimenter cette écriture où se mêlent essentiel et éphémère.
La carnet, instrument de l’écrivant à l’écoute du monde. Recueil de note, ses pages émettent une tonalité singulière, celle du langage, de la voix de l’auteur. Il fait entendre avec justesse ses gammes de réflexions et ses résonnances émouvantes au réel.
Aller à la rencontre du simple et de l’émerveillement
Sur les traces de Saint-Exupéry, Camus et autres explorateurs, expérimenter différents champs d’écritures brèves. Découvrir les voies d’écritures régulières. Emprunter des pistes ludiques et vagabondes, oser aller à la rencontre de l’instant où seul est écrit ce qui nous fait grand plaisir
Une collecte d’instantané
Un carnet comme un cabinet de curiosité empli de perceptions singulières. Une écriture qui butine et n’a pas besoin de convaincre. Le Carnet est ce maquis où les mots foisonnent sans motif, sans objectif, ils se suffisent à eux-mêmes et laissent parfois des idées parfumer les interstices des matériaux capturés. L’écriture comme un geste amoureux, une célébration de la vie.
Halte d’écriture : un séjour de trois jours deux nuits pour expérimenter l’écriture à la lumière de Christian BOBIN.
DU 10 au 12 DECEMBRE 2023
Les photos sont prises lors de la dernière halte : ECRITURE BOBIN en juin 2023 à Fontainebleau.
Ecriture et ressourcement : « Christian BOBIN est entré en résonance avec mon cœur. Pour le poète « Marcher dans la nature, c’est comme se trouver dans une immense bibliothèque où chaque livre ne contiendrait que des phrases essentielles. » C’est ainsi que j’ai eu envie de créer cette halte d’écriture et ressourcement pour expérimenter l’écriture à la lumière de Christian BOBIN, en traversant son œuvre comme si nous traversions une rivière sur les pierres de gué de ses mots.» Kikka
Expérimenter l’écriture dans un cadre ressourçant, en pleine nature l’été ou au coin du feu proche de la nature en hiver. Aborder ce séjour en écriture par le prisme de Christian BOBIN. Jouez avec votre créativité, laissez émerger des gisements d’écriture. Cette halte d’écriture se proposera dans différents lieux et à différentes dates. La prochaine session aura lieu à 30km de paris du 10 au 12 décembre 2023.
Expérimenter différents champs et registres d’écriture en traversant l’œuvre de Christian BOBIN. Un voyage au cœur des mots pour faire émerger des déclencheurs et aller à la rencontre de la source d’inspiration.
Le programme de cette halte d’écriture :
premier jour : Entrer dans l’écriture à partir de la matière première de Christian BOBIN
deuxième jour : Expérimenter la rencontre de lieux, capturer l’instant.
troisième jour : Explorer les territoires poétiques, épistolaires, écrire le quotidien.
Les intermèdes durant le séjour sont conçus pour favoriser l’émerveillement et le ressourcement.
SI VOUS SOUHAITEZ ORGANISER CETTE HALTE D’ECRITURE DANS VOTRE LIEU N’HESITEZ PAS A ME CONTACTER
en pension complète repas gourmands et sains
Amoureuse des mots, ce qui m’anime : accompagner le surgissement de l’écriture et partager la richesse de nos verbes. La retraite d’écriture se situe à la lisière entre les retrouvailles avec soi et la rencontre avec les autres à travers les mots.
Kikka – Laure-Emmanuelle auteur d’un premier roman paru aux éditions Eyrolles
Éveilleuse de mots, Passeuse de textes Kikka@kikkaauteure.fr
0618412286 – renseignements inscriptions
Et si nous pouvions assister à la réconciliation de l’Homme et du monde du travail ? Avoir mal au travail, se sentir blessé dans sa relation au travail est un ressenti tristement courant. Conflit de valeurs, perte de motivation, perte de sens, stress chronique, maux du corps…
La dernière question qui m’a été posée en séance d’accompagnement était « mon état d’être est-il forcément le fait d’un management toxique ? »
La thèse de la toxicité du manager est parfois la première réalité ressentie mais dans les faits cela va bien au delà d’une histoire de personnes, de bourreau et de victime. Qu’en est il du monde du travail ?
Quand on prend le temps d’observer les comportements, il semble que le drame soit bien plus profond. Et si c’était une illustration du concept philosophique développé par Hannah Arendt « la banalité du mal » ? Concept où des personnes ordinaires acceptent comme normales des choses inhumaines.
La toxicité n’est intrinsèquement pas liée à l’Homme. Cela serait très réducteur et binaire de classer les bons et les mauvais. La question fondamentale est de comprendre comment le manager agit. Agit il en l’absence de conscience de l’autre ?
Cette thèse illustrerait une relation fondée sur un aveuglement, sur l’ignorance ou l’incapacité à voir l’autre en tant qu’être.
L’autre est regardé comme une chose extérieure, un simple maillon de la chaîne du travail. Ce constat nous rapproche d’une forme contemporaine de la relation d’esclavage adaptée aux nécessités des rouages technocratiques d’un système travail.
La „ technicisation » du monde a-t-elle joué un rôle en nous libérant de certaines tâches et de certaines mémoires qui nous éloignent de qui nous sommes ? En quoi participe t elle a créer des Hommes vides d’humanité, sans empathie pour l’être humain, et ce quel que soit le modèle du système économique choisi
Dans les périodes de forts changements, les anciennes valeurs de solidarité, de respect de l’autre, d’idéal humain, de religion … se perdent et ce vide est rempli par les règles (et non des valeurs) dictées par l’impératif de compétition.
Et si réconcilier l’Homme et le monde du travail revenait à redonner sa juste place à l’Homme ?
Aujourd’hui sans constat de flagrante toxicité, le manager et le collectif restent les garants des conditions dans lesquelles est posé le geste travail.
À cet effet, cela ne dispense personne de penser. Penser est une faculté humaine, son exercice relève de la responsabilité de chacun.
On retrouve une belle illustration de la place de la pensée humaine dans le remarquable film de Stéphane Brizé « un autre monde ». Vincent Lindon recherche et trouve une alternative au plan social, une solution cadrant aux exigences demandées alors que le système qui l’emploie lui impose une injonction d’obéissance et non de réflexion !
Des lors que l’on choisit d’arrêter de penser pour se se fondre sous la pression à l’exigence de la demande du système, il est impensable d’imaginer ne pas être responsable ou avoir de responsabilités dans les conséquences engendrées.
De fait, le manager qui choisit d’oublier de penser restera définitivement coupable d’une obéissance purement mécanique qui masque le soutien à l’organisation. L’épidémie du « court-termisme » sert cette pratique du « après -moi le déluge » permettant d’échapper aux dommages collatéraux de l’obéissance silencieuse.
Essayer de comprendre le fléau de la souffrance au travail est une responsabilité collective mais pas que. Elle implique également une responsabilité individuelle de chacun qui se doit de penser et de considérer l’autre en tant qu’être.
L’Homme ainsi digne pourrait exprimer pleinement ses capacités, ses talents et serait au service de la prospérité de son environnement.
Et si on basculait d’une ère des chiffres en une ère de l’ETRE ?
Si l'entreprise m'était conté, écriture transmission L'ÉCRITURE TRANSMISSION, L'ÉCRITURE COMME ART DE LA RELATION Portrait, histoire singulière, l'écriture comme médiateur de la relation à soi, aux autres et au sens. Une reconnexion par les mots. Une invitation à...
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" La banalité du mal " dans le monde du travail Et si nous pouvions assister à la réconciliation de l’Homme et du monde du travail ? Avoir mal au travail, se sentir blessé dans sa relation au travail est un ressenti tristement courant. Conflit de valeurs, perte...
Le tuto toxique de Karim Duval Il était une fois, une rencontre incroyablement humaine... avec Karim Duval un humoriste talentueux dont j'ai découvert les vidéos sur LinkedIn. Le tuto toxique de Karim Duval est inspiré de la lecture de "je ne te pensais pas si...
Pourquoi je n'ai pas fuis mon travail ?La première raison pour laquelle je suis restée travailler est la dépendance financière L’argent - le niveau de vie - les emprunts - la période qui est loin du plein emploi - le statut du démissionnaire n’a aucun droit....
Les définitions du burnout, syndrome d'épuisement professionnelSelon le Larousse : « Syndrome d’épuisement professionnel caractérisé par une fatigue physique et psychique intense, générée par des sentiments d’impuissance et de désespoir. » Selon l'Organisation...
Comment survivre et ne pas perdre sa vie à avoir voulu la gagner ?Les 5 étapes sur lesquelles je me suis appuyée. Accepter de ne pas tout maîtriser. Lâcher prise, trouver le courage de se faire aider par des spécialistes : médecin du travail, psychologue du travail,...
Il était une fois, une rencontre incroyablement humaine… avec Karim Duval un humoriste talentueux dont j’ai découvert les vidéos sur LinkedIn. Le tuto toxique de Karim Duval est inspiré de la lecture de « je ne te pensais pas si fragile. Mon roman est publié aux éditions Eyrolles. L’histoire de cette rencontre a commencé par un coup de cœur pour Karim. J’aime son ton farceur et décalé, ses surprises métaphoriques, son style si singulier, acide, drôle et efficace en résumé insupportablement excellent.
Ses vidéos ont illuminé mes périodes de confinement. J’ai envoyé mon livre à Karim dès sa sortie. Puis ce fut la rencontre en vrai lors de mon road trip. En séance dédicace à Lyon, Karim est monté à bord de mon combi. Il avait trouvé une piste de vidéo ! Puis ce fut le redémarrage des spectacles. Une salle complète pour génération Y sur toutes les dates de Karim à l’Européen à Paris. Ce spectacle est « Y-Larant », je vous conseille chaudement d’aller le vivre ce moment.
Riez c’est la meilleure des thérapies. Les spectacles de Karim Duval devraient être remboursés par la sécurité sociale !
La mission de Libérer la parole au sujet de la souffrance au travail n’est pas facile. Karim a su dans son Tuto toxique aborder particulièrement le sujet du harcèlement moral au travail. L’humour est un des moyens pour faire passer les messages les plus graves. Il fallait trouver les mots et le ton pour le faire !
Je remercie Karim Duval d’avoir répondu un grand oui pour m’aider à transmettre mon message. J’espère que cette video sera l’occasion d’une prise de conscience.
Humoriste et pas que? Karim Duval est un champion olympique du 4eme degrés. C’est un héro de plongée sous-marine, celui qui dévoile la partie de l’iceberg que personne n’a envie de voir. Merci Karim pour ce cadeau si utile pour contribuer à réconcilier l’homme et le monde du travail.
Je compte sur tous les employés du domaine privé comme ceux du domaine public pour relayer cette vidéo. Il est temps de la déposer dans toutes les mains de l’écosystème de la santé au travail. Qu’elle ouvre des opportunités pour transformer demain en quelque chose de plus humain.
Je vous invite à vous précipiter pour réserver une soirée inoubliable en compagnie de Karim Duval.
Pour la détox, les prochaines dates sur https://www.karimduval.com/
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La mission de Libérer la parole au sujet de la souffrance au travail n’est pas facile. Karim a su dans son Tuto toxique aborder particulièrement le sujet du harcèlement moral au travail. L’humour est un des moyens pour faire passer les messages les plus graves. Il fallait trouver les mots et le ton pour le faire !