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La première raison pour laquelle je suis restée travailler est la dépendance financière
L’argent – le niveau de vie – les emprunts – la période qui est loin du plein emploi – le statut du démissionnaire n’a aucun droit. Attaquer au prud’homme la victoire n’est pas garantie même avec le meilleur des avocats du travail. Je pensais que je n’avais pas le choix
La deuxième raison pour laquelle je suis restée : ma valeur travail
Mon engagement, ma loyauté et ma conscience professionnelle. J’aimais mon travail et mes équipes.
don de soi ,implication, d’esprit d’initiative, de responsabilisation, de dévouement, d’effort et de dépassement
La troisième raison pour laquelle je suis restée est le temps
quand le rythme est trop dense, que la charge mentale est à son maximum comment trouver l’espace-temps pour une recherche d’emploi?
La quatrième raison pour laquelle je suis restée c’est la peur de l’échec.
La cinquième : Le conformisme injonction a être fort. Course à la performance et à réussir sa vie Derrière le il faut réussir ta vie il y a une véritable pression culpabilisante de ne pas rater sa vie. Le conformisme m’a détaché mes besoins et valeurs de chaque instant. Le conformisme divise et extermine tout esprit de solidarité
Ensuite c’est le Cercle vicieux :
J’aime mon travail, je dois bosser plus si je ne fais pas plus d’efforts c’est l’échec assuré, je ne peux pas m’arrêter et laisser mes équipes, mes projets, mes clients …. personne ne peut m’aider, j’ai pas le choix, et quand bien même je n’ai pas le temps de chercher et c’est partout pareil le monde du travail …Accroche toi …..on perd confiance en soi et on devient alors victime d’un système ce qui nous empêche de reprendre notre autonomie et d’agir;
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